mardi 6 mars 2012

FORMATION : ACTIVITÉ ESSENTIELLE DES PAYS DÉVELOPPÉS !


FOLes crises sont des faits marquants et les suites logiques d’erreurs affectant les milieux financiers, industriels, commerciaux et agricoles, permises à cause d’insuffisance de communications et d’informations actualisées à des moments précis de l’activité d’un continent.

Elles n’ont pas permis aux pays développés de surmonter les effets.
Outre les drames humains quelles engendrent, de grands projets n’ont pas été mis en œuvre.
Les capitaux non affectés auraient permis de développer et multiplier de nouveaux projets.

À cause des délocalisations occidentales et de l’activité soutenue des pays en voie de développement les pays industrialisés ont le souci de devoir prendre l’engagement de surmonter le problème de l’inactivité des personnels non spécialisés et favoriser les activités des futures entreprises.

Les productions des unités délocalisées sont sans doute celles qui après négociations, favorisent largement les compensations commerciales bilatérales à fortes valeurs ajoutées.
Les multiplications et extensions de délocalisations pas totalement inutiles ni ignorées permettent évidemment aux pays occidentaux d’exporter machines, installations, aéronefs et autres produits ...

Ce cycle d’échanges immuable entraine évidemment la fermeture de nombreuses unités locales et la suppression de milliers d’emplois non spécialisés.
Personnels à reconvertir et à former dés que possible pour satisfaire les demandes de nouvelles unités de productions et limiter autant que possible le nombre d’autorisations d’entrées de techniciens étrangers.

La création constante de produits nouveaux favorise la demande et contraint les industriels à financer plus de projets inédits dans des domaines tels que Nucléaire, Energie, Isolation, Stockage d’énergie, nouveaux matériaux, défense, transports, transmissions, communication, secteurs d’activités pas encore au programme des pays sous industrialisés.

Dans ce contexte et environnement commercial hostile les pays les plus favorisés sont ceux dont le taux de personnels scientifiques et techniques et le volume de créations de produits par million d’habitants sera le plus élevé.
On peut citer entre autres que des pays comme USA, France, Israël, Japon, Inde, Corée, Chine auront une tache immense à remplir dans leurs zones d’influences.

La recherche et la formation seront inévitablement les premières activités des pays qui ont le souci de se développer et préserver les emplois des entreprises.

Airikal -- Roger Isaac Kalifa Paris 

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