jeudi 26 juin 2014

LES REMISES, RABAIS ET SOLDES QUI IRRITENT LES CONSOMMATEURS ET DÉSTABILISENT LES PME.


 LES REMISES, RABAIS ET SOLDES QUI IRRITENT LES CONSOMMATEURS
ET DÉSTABILISENT LES PME.
La valse des prix orchestrée par les commerces y compris les grandes surfaces agace et sème la confusion chez les consommateurs faute de repères.

Les choix des consommateurs se définissent désormais qu’à partir des niveaux de rabais consentis au détriment des critères habituels de qualité des matières premières, de fabrication et de fraicheur.

Les remises consenties favorisent le e-commerce »qui multiplie ses ventes sans diminuer ses marges.
Ces méthodes de ventes concurrentielles protègent principalement les échanges de produits de marque à forts débits de rotation.

Les faibles revenus générés sur les ventes de produits de marque
contraignent les points de ventes régionaux et nationaux à relever les marges des produits provenant des PME qui n’ont ni la volonté ni la capacité de faire réajuster les marges..
Ces prix qui affectent les mouvements d’affaires et  les relations entre les commerces de gros et détail, désorganisent forcement et mettent en difficulté les programmes de production des PME, fabricants ou industriels

Les charges de la petite distribution applicables principalement aux petits distributeurs, telles que : Courtage, VRP, Agents, Entrepôts, Gestion des stocks, Transports…, créent l’obligation d’application de multiples tarifs dégressifs.

Les détaillants ne bénéficient pas des avantages des tarifs préférentiels à causes justement des faibles quantités écoulées.
Ce type de conflit explique clairement la décision des détaillants a stopper leurs activités sans espoir de retour.

Certains commerces de détail doivent en partie leur survie grâce aux négociants importateurs de toutes tailles ou aux petites structures industrielles locales qui se chargent de diffuser leurs produits sans intermédiaire, bénéficiant de le souplesse du commerce international qui fait bénéficier des avantages tarifaires préférentiels confortables.

Depuis quelques décennies les marges bénéficiaires des sociétés industrielles et des importateurs en place sont libres, la concurrence se permet tous les écarts. Les licences d’importations n’étaient prioritairement accordées qu’aux industriels qui préservaient leurs marchés et leurs marges si souvent discutées.
Un demi-siècle après cette période faste, les entreprises de commerce  ne s’affrontent toujours pas sur les prix publics qui demeurent intacts avec leurs coefficients habituels débordants. Pour réaliser leurs affaires ils font preuve de performances et d’imaginations en créant des niveaux de remises, de  rabais, de promotions, de reprises, de déductions de taxes et de cadeaux en tous genres.

Les clients consommateurs  sont désorientés ils n’ont plus en mémoire la notion des prix réels des produits, de leur qualité, de leur composition. De leur origine…. Le marché de détail est devenu un véritable souk ou ne se négocie que le prix pied à pied.
Les remises consenties de 10 à 70% excluent toutes remarques ou demandes d’explications sur la qualité.
A cause de ces campagnes de vente et de soldes avec remises interminables, les détaillants sont désempares. Les accords de distribution souscrits avec faibles marges ne suffisent plus à couvrir les frais de fonctionnement.

Les détaillants étaient jadis autorisés à vendre les reliquats du stock dans la période intermédiaire  entre hiver et printemps,  tous les commerces y trouvaient son compte.  Mais en l’absence de règles précises obligatoires,  les remises et les soldes sont consenties à tous les rayons en toutes périodes sans justifier les raisons, elles déstabilisent le commerce, et ne favorisent pas plus l’industrie, Elles sont inutiles et destructrices d’emplois.
L’exemple des ventes de Noel avec remises et soldes, qui débutent le premier novembre expliquent l’étonnement et le malaise.

Pour remédier en partie, les détaillants ont recours aux produits bas de gammes des  industries locales qui alimentent le marché. Les détaillants réalisent ainsi des C.A sans modifier les prix de vente habituels.
Cette pratique favorise parfois des dérives fiscales incontournables, difficiles  à prévoir et à chiffrer. 
Avec de telles pratiques et perspectives commerciales, l’avenir du commerce de détail indépendant est en danger, elles nécessitent de sévères  recommandations de la part des autorités compétentes.
Existe-t-il parmi responsables nationaux, un seul expert qui aurait l’audace de suggérer des solutions pour imposer de nouvelles règles, pour assainir là la distribution et la vente au détail des e-commerces, des boutiques et des grandes surfaces ? 

Airikal Paris  ©  12-06-2014      

mercredi 30 janvier 2013

D.ieu... D.ieu est-il encore disponible ?


  Dieu est-il encore disponible pour permettre aux hommes de gérer l’organisation de l’espace, le temps et les espèces ?
   Le discrédit est tellement énorme que tout ce qui tourne autour des activités de l’homme et du fruit de ses activités semble futile, inutile et superflu.
  Le monde moderne est plus que jamais en manque de repères ! Tout semble dépassé. Tout est bon pour la casse, et à refaire !
  Les  hommes et les  représentants de D.ieu ont-ils seulement pensé, à modifier l’état d’esprit des populations, là où ils se trouvent. Peut-on encore être assez naïf pour croire les derniers prêcheurs  qui se manifestent seulement  pour la forme ou pour de la monnaie?
   L’enseignement prodigué aux nouvelles générations ne passionne plus, au point que les bénéficiaires de diplômes doutent gravement de leur avenir.
 La responsabilité des multiples bouleversements du XX et XXIème siècle ont des  dénominateurs communs, et particulièrement le manque de valeurs, d’exigences de l’enseignement quotidien et le respect de la différence d’autrui.
  Qui peut croire que les engagements des responsables seront respectés ? ou que les contrats de toutes natures ne sesont pas contestés pour quelque cause que ce soit au moment de leur conclusion ?
   Le manque de repères et contraintes affecte autant les familles, que le monde du travail, de la finance et de la spiritualité.
  Les dirigeants des nations s’impliquent et s’étripent, pour s’approprier, grâce à des manouvres inappropriées, les richesses naturelles des pays sous-développés. Ils y parviennent souvent à moindre coût. Tous les motifs sont évoqués pour s’approprier les parts les plus confortables..
  Peut-on rendre responsables les représentants de D.ieu des dérives contraignantes auxquelles les populations du monde sont  astreintes ?
   Dans toutes les nations en ébullition les couples s’unissent en se jurant fidélité pour la vie face aux représentants officiels  et de D.ieu. Pourtant ils n’hésitent pas à se séparer sans état d’âme à l’occasion des premiers désaccords en laissant sur la touche des enfants désorientés  pendant un quart de siècle.
 Qui est responsable de cette dérive, la société ou  D.ieu et ses représentants trop préoccupés à résoudre d’autres taches moins encombrantes.
  Les dérives d’enfants délinquants de tous âges sont les résultats de réalités qui se perpétuent sans que les autorités morales et officielles ne se mobilisent pour initier de nouvelles orientations...
   Faute d’information les adolescents n’ont d’autres choix que de se brancher sur la rue ou internet qui proposent  les infos et images qui détruisent les réalités.
  Qui est responsable de cette dérive, la société chargée de l’enseignement ou .D.ieu et ses représentants,
  Les économies des familles modestes sont confiées aux banques et aux Compagnies d’assurances, pour le  peuple ces économies permettront  dassurer une maigre retraite, ou d’investir dans l’immobilier. En revanche les dépôts plus conséquents permettent  la spéculation, qui faute de rigueur entraine des désordres insurmontables bien plus importants..
   Les services chargés de rédiger les règles ainsi que les experts pas toujours inspirés sont certainement  responsables de multiples dérives
  Dans la hiérarchie administrative la plupart des personnes en place ont hérités de leur situation grâce à la position administrative, financière ou ecclésiastique de leurs ainés. qui se transmettent  les places chaudes de la société  sans competence?
  Les civilisations anciennes Egyptiennes, Grecques, Romaines, Mayas, et bien d’autres ont connus des périodes fastes et glorieuses. Le point commun qui a permis leur décadence serait-il identique? Leur puissance semble avoir été leur principal ennemi. Les peuples  sous domination ou sous pression entrainent tôt ou tard désordres et décadences  insoupçonnables.
  La fin des périodes du  XX et XXIémes siècle ressemble étrangement à celle de plusieurs civilisations oubliées.
Les organismes financiers et les spéculateurs ont écrémés toutes les réserves au point que la plupart des organisations fonctionnent qu’avec la pression de groupements d’états ou dorganismes internationaux. Les populations sont mises à contribution  pour éponger les déficits et la casse ! 
  Il est fort probable que les populations  ne se soumettront plus aux exigences des autorités si ces désordres se reproduisent .Dixit, le dénouement de la crise en Islande…

 Roger I. Kalifa Airikal  Paris 30 01.2013….   
  

mercredi 2 janvier 2013

Extraterrestres et s'ils ressemblaient à ça

La presse internationales commente chacun à sa façon les ébats d'ovnis qui se manifestent chacun à sa manière ici et là au dessus des continents.  Malgré les commissions d'enquêtes mises en places pour élucider le phénomène, les scientifiques et les personnalités officielles de chaque pays, se gardent bien de se manifester tant le résultat est peu significatif.
Au risque d'étonner, je me contente d'imaginer ceux qui hantent les rédactions et qui dans un  proche avenir pourraient , nous irriter ou nous éblouir..............

Roger Isaac Kalifa  Airikal Paris  (c)  (r)  

mercredi 24 octobre 2012

Aquila : Un jugement qui permettra de réfléchir

Aquila : Un jugement qui permettra de réfléchir avant d’accepter de telles missions.  

Depuis belles lurettes les experts de tous poils donnent leurs avis  ou recommandations sans un soupçon de  risque de poursuites en cas d’erreurs d’évaluations, de prévisions ou de recommandations
En cas d’appel,   contredire ou  rejeter certains rapports bâclés entraînaient de désolantes et multiples conséquences et de fâcheux retards   
La décision présente est une première  qui permettra aux experts de tous poils de cogiter  deux fois plus avant de conclure, ou s’abstenir. Airikal

 

samedi 24 mars 2012

RETOUR AU TEMPS UNIVERSEL COORDONNÈ en U.E. (Heures de Greenwich, GMT)


CONSÉQUENCES DES POSSIBILITÉS D’ABANDON DES HEURES DECALEES ETE / HIVER
DEBAT ou INFORMATION ?

L’Europe devrait débattre sur l’opportunité de maintenir définitivement les décalages horaires d’Eté / Hiver. Ou de revenir au Temps Universel Contrôlé UTC., (heures de Greenwich GMT)

La conséquence directe de la décision d’un retour à l’UTC ou GMT, sera de trouver un financement de substitution qui compenserait les pertes probables de recettes fiscales TVA. évaluées pour l’Europe à plus de vingt cinq milliards d’uros, et pour la France probablement plus de cinq milliards.
Sommes payées indirectement par soixante dix millions de consommateurs en France et plus de trois cent millions d’Européens, non compris ceux des pays hors Union Européenne qui se soumettent à la règle.

Deux périodes favorisent la consommation qui génère la TVA. 
Heures d’Eté 180 jours.                                  
Heures Eté/Hiver confondues 300 jours.    

Nous concluons que pendant les périodes concernées que le décalage d’horaires entraine un surcoût de dépenses par consommateur de :
- 0.15 uro de TVA par jour sur les achats de   0.75 à 0,80 jours. (dépenses plus basses.
- 7.11 uro de TVA par jour sur les achats de 30.00 à 35.00 jours. (dépenses plus hautes.

Pour définir ces évaluations les populations sont scindées en de multiples groupes de consommateurs qui repartissent inégalement les dépenses. En multipliant ces groupes la différence par consommateur ne serait probablement pas plus précise ni significative.

Pour ces motifs, nous ne pensons pas que le retour définitif à l’heure GMT soit inscrit à l’ordre du jour d’une des commissions de Bruxelles avant longtemps…...  

Roger Isaac Kalifa   

mardi 6 mars 2012

FORMATION : ACTIVITÉ ESSENTIELLE DES PAYS DÉVELOPPÉS !


FOLes crises sont des faits marquants et les suites logiques d’erreurs affectant les milieux financiers, industriels, commerciaux et agricoles, permises à cause d’insuffisance de communications et d’informations actualisées à des moments précis de l’activité d’un continent.

Elles n’ont pas permis aux pays développés de surmonter les effets.
Outre les drames humains quelles engendrent, de grands projets n’ont pas été mis en œuvre.
Les capitaux non affectés auraient permis de développer et multiplier de nouveaux projets.

À cause des délocalisations occidentales et de l’activité soutenue des pays en voie de développement les pays industrialisés ont le souci de devoir prendre l’engagement de surmonter le problème de l’inactivité des personnels non spécialisés et favoriser les activités des futures entreprises.

Les productions des unités délocalisées sont sans doute celles qui après négociations, favorisent largement les compensations commerciales bilatérales à fortes valeurs ajoutées.
Les multiplications et extensions de délocalisations pas totalement inutiles ni ignorées permettent évidemment aux pays occidentaux d’exporter machines, installations, aéronefs et autres produits ...

Ce cycle d’échanges immuable entraine évidemment la fermeture de nombreuses unités locales et la suppression de milliers d’emplois non spécialisés.
Personnels à reconvertir et à former dés que possible pour satisfaire les demandes de nouvelles unités de productions et limiter autant que possible le nombre d’autorisations d’entrées de techniciens étrangers.

La création constante de produits nouveaux favorise la demande et contraint les industriels à financer plus de projets inédits dans des domaines tels que Nucléaire, Energie, Isolation, Stockage d’énergie, nouveaux matériaux, défense, transports, transmissions, communication, secteurs d’activités pas encore au programme des pays sous industrialisés.

Dans ce contexte et environnement commercial hostile les pays les plus favorisés sont ceux dont le taux de personnels scientifiques et techniques et le volume de créations de produits par million d’habitants sera le plus élevé.
On peut citer entre autres que des pays comme USA, France, Israël, Japon, Inde, Corée, Chine auront une tache immense à remplir dans leurs zones d’influences.

La recherche et la formation seront inévitablement les premières activités des pays qui ont le souci de se développer et préserver les emplois des entreprises.

Airikal -- Roger Isaac Kalifa Paris 

Insuffisances de prévisions ou absence d’experts avertis ?


Insuffisances de prévisions ou absence d’experts avertis  ?

Peu de prévisions à long terme, crises des matières premières, prix du brut, délocalisations d’usines, crises financières, immigration, absence de dialogue social, information du public, mixité des populations dans les lieux publics, partage du pouvoir, ont marqués profondément l’opinion publique et modifiés la place du Pays dans le monde.

Les responsabilités de la gestion des affaires et des administrations occidentales ont été attribuées certes à cause de compétences mais aussi à cause d’idées politiques ou idéologiques. Ces postes en nécessitaient certainement d’autres aussi importantes pour répondre aux exigences et attentes des populations impatientes.

L’élection du Président est souhaitée à cause de sa valeur, de sa détermination et de l’appareil politique qui le soutient. Le peuple souhaite que la consultation anime et incite les élites du pays à faire la démonstration de leurs talents.

De nombreuses concessions inappropriées ont été faites à ceux qui sporadiquement contestent.
La mise en place de programmes innovants tarde, les commissaires nationaux et européens feignent d’ignorer les conséquences qu’engendrent les exigences internationales.
Il n’est pas raisonnable de sous estimer les ambitions et le rôle des opposants dans la conduite des affaires.

Les habitudes et comportements des populations, non inclus dans les programmes occidentaux, ne doivent pas servir de motifs ni d’excuses pour éluder les problèmes créés par la présence de nouvelles populations indispensables au bon fonctionnement de l’économie nationale, farouchement hostiles au nivellement des cultures.
Si peu de directives suffiraient pour que chacune d’elles se sente vraiment fière d’être citoyenne sans arrière pensée ?

La sagesse des dirigeants et la qualité de sélection des experts attachés aux divers centres de décisions suffiraient largement à satisfaire l’ensemble des populations impatientes et inquiètes.     
Roger Isaac Kalifa 

lundi 5 mars 2012

BRUXELLES ! TENEZ NOUS INFORMES S.V.P.



Contrairement à ce que pensent les populations européennes, les directives proposées par chacun des Etats à sa population, ont été élaborées et soumises à l’approbation suivant à une grille d’applications et de délais arrêtés par Bruxelles,
A quoi servent les débats inutiles et stériles ?

vendredi 2 mars 2012

La valeur des hommes des biens et des produits

Les Etats connaissent ils vraiment les capacités, qualités et valeurs des populations ? Leurs biens et leurs produits ne sont pas toujours correctement évalués ? 
Qui prendra l’initiative des évaluations et des normalisations,  sans indulgence ni défaillance ?

Pour satisfaire le plus grand nombre, les valeurs semblent être déterminées par l’originalité au point zéro !  Elles dépendent de l’importance et de l’évolution des demandes internationales !
La bourse et les marchés se chargeant de l’évolution quotidienne des classifications et performances

Des personnes de grandes valeurs sont victimes du système, sans espoir d’un possible recours. Ecartées quotidiennement elles ignorent ordinairement les causes réelles de leur éviction !.
Les critères de sélection ne sont pas tous exigés pour les remplacer..
  
Depuis plusieurs décennies il est peu question de la valeur des élites et de leurs travaux, Un grand nombre d’éducateurs et personnalités privilégient les références, normes et travaux des maîtres ou experts talentueux  des derniers siècles.

Il est bien regrettable que les grosses têtes soient si peu sollicitées pour la gestion courante des affaires collectives.

Elles sont souvent "driver" comme dans les casernes d'antan,
" Toi que sais-tu faire ?  " Pilote mon Commandant ! « Suffisant !   prends cette brouette mène là au dépôt ».
Un éminent professeur de médecine, Ministre français de la santé a été traité de la sorte il y moins de vingt ans.

Roger Isaac Kalifa 


vendredi 17 février 2012

NOUVEL ORDRE MONDIAL, SANS PILOTE


nouvel ordre mondial,  SANS pilote

Le monde moderne est défaillant, tournerait il sans programme, sans pilote ni boussole ?

les médias, la finance, l’éducation, la religion, la politique, le commerce, la mort seraient ils  soumis aux influences et l’autorité de lobbyings structurés ?

Tous les médias et les multiples internautes inquiets interpellent et dénigrent régulièrement la société et les dirigeants politiques au risque de traumatiser et d’ébranler la société.

Le monde est satellisé contre son gré autour d’extrêmes, de fer et de sang à profusion.

Les désordres se multiplient aux quatre coins du monde, aucun pompier ne se sent concerné, les nations malgré leur rang et leur notoriété ont tant de problèmes à gérer qu’ils n’interviennent que très diplomatiquement pour contester du bout des lèvres ou tenter de faire des recommandations non constructives.
Chacune d’elles attend que le voisin prenne en charge la responsabilité de l’initiative !

Les deux axes dont les dirigeants et les personnalité exerçaient jadis leurs capacités de dissuasion ne remplissent plus totalement leur rôle d’arbitre.

Il est indispensable d'admettre que face aux problèmes complexes et difficiles à gérer, les Superpuissances tellement déstabilisées ne sont pas totalement crédibles pour se faire entendre, les problèmes sont complexes et tant l’enclos est vaste !

Il est temps que les responsabilités mondiales soient de nouveau définies planifiées et partagées par de grands partenaires déterminés et opérants.

Ce partage permettrait de refreiner et d’endiguer les ardeurs des petits qui grandissent dans le désordre. Il est temps de remettre sur les rails les pays exagérément ambitieux qui par leurs exigences infondées retardent le développement de leur pays, empoisonnent les relations internationales et accentuent les inégalités et les injustices de toutes natures.
Quel personnalité, quel dirigeant aurait l’audace de postuler au poste de gestionnaire, laissé trop longtemps vacant dans l’enclos mondial désorganisé.  Quel état aurait l’audace de partager la dernière chaise vide abandonnée à cause du vent de l’Histoire ?

Par principe l’ONU qui grâce à sa structure démesurée, aurait théoriquement pu remplir la fonction. Cependant chacun de nous se demande comment un si gros "machin" pourrait enfin se mettre en mouvement, pour éviter que ses exécutants inactifs fassent « les pieds de grue » aux frontières des pays en crise, sans pouvoir intervenir ?

Les raisons de remplir la fonction et les outils ne manquent pas pour remettre sur les rails et en route l’ordre mondial, dont le dénominateur n’est autre que le nerf de la guerre et des affaires « LES CAPITAUX INERTES NON IDENTIFIES EN ATTENTE DE PLACEMENTS SPECULATIFS »

A cause de ce constat
·  Les greniers sont presque vides, des millions de personnes meurent de faim ? Les pays ordonnent de mettre en jachères les terres fertiles ?  Les réserves de blé et de maïs sont utilisées pour fabriquer du carburant ?
· Les populations s’ennuient dans des infrastructures qui s’efforcent de commercialiser des produits non compétitifs parfois obsolètes.
·   Les outils de production qui pénalisent les industries, n’ont pas été renouvelés à temps, ils produisent pour le marché local, les chinois pour le marché mondial !
·      L’immobilier n’offre plus de toit aux populations actives, ils ne sont accessibles qu’à l’élite. Dans un quart de siècle, où seront logés le peuple et les immigrés qui remplaceront dans les usines européennes ceux partis à la retraite.
·     Des capitaux inertes attendent patiemment les opportunités de financement dans de multiples sites internationaux connus, au désespoir des entreprises exsangues incapables de faire face à la concurrence des pays émergeants.
.   Ainsi que bien d’autres raisons identifiées localement dans chaque région d’Europe

Il faut si peu de décisions pour mettre à jour le NOUVEL ORDRE MONDIAL. .Les experts du monde ont identifiés les problèmes, Ils peuvent à tous moments apporter leurs contributions.


Airikal --  Roger Isaac Kalifa Paris

mardi 14 février 2012

RESTE-IL ENCORE DES CITOYENS LUCIDES,


RESTE-IL ENCORE DES CITOYENS LUCIDES,

Il n’est pas facile aux responsables internationaux de mesurer et admettre les décisions négatives, et les motifs qui mettent en marche la machine infernale qui change le cours de l’histoire. Machine qui bat en brèche toutes les initiatives collectives, notamment politiques, sociétales et syndicales.

Peut on imaginer à quel point le manque de concertation puisse créer de si imprévisibles confusions qui détruisent des années d’efforts et de patiences contenues pour préserver les richesses nationales, la vie spirituelle de la société, l’organisation des activités publiques,  et la planification de toutes les activités de la société moderne future mis en place par les responsables de chacune des nations ?

Les loups de toutes origines ont souvent la vie belle en s’alliant aux moutons pas toujours blancs pour abattre leur berger.

-La paix dans le monde bafouée pour que les usines qui produisent les produits les plus inattendus continuent leurs activités sans complexe !
-La gauche et l’extrême gauche s’allient sans conviction à la droite pour éliminer l’extrême droite.
-Une partie de la droite et une partie de la gauche conjuguent leurs efforts pour retarder et évitent de laisser la place à ceux qui prendront forcement la relève dans le concert des nations.
-Les responsables de la spiritualité se démènent plus que jamais pour conserver ou accroître le nombre de leurs paroissiens, etc.…

Depuis un siècle chacune des personnalités du monde moderne mis en place pour toutes sortes de raisons s’animent et s’évertuent à consolider leurs positions pour verrouiller toutes les portes qui permettent d’accéder à :
La Paix dans le monde.
La Réconciliation des hommes,
La mise en place de moyens accessibles à une nouvelle lignée de gestionnaires pour gérer plus efficacement la société moderne,
La création de programmes internationaux de répartitions équitables des richesses de la planète.

Une grande table ronde d'hommes de valeur et beaucoup de réalisme suffiraient amplement.

AIRIKAL – Roger Isaac Kalifa Paris -- Rediffusion 

samedi 11 février 2012

LA FINANCE ET L’ARGENT DU PEUPLE


LA Finance et L’argent du peuple

Pour le redressement économique du pays, pour la stabilité des monnaies, le peuple doit consommer et modifier ses habitudes et son environnement !
Pourquoi donc les populations ne consomment pas plus ? Malgré le forcing la majorité d’entre elles s’abstient d’utiliser les liquidités disponibles.

La prudence est de mise, les responsables et les dirigeants des pays qui à en croire les sondages, ne sont pas crédibles, ne parviennent pas à convaincre les foules de consommer plus.

Chaque famille économise et épargne à sa façon pour éviter la casse en cas d'imprévu. Le bas de laine est plus que jamais privilégié.
La thésaurisation est encore courante dans les familles modestes principalement en province, cette épargne permet de se prémunir contre le chômage inopiné, ou limiter les restrictions sociales en périodes incertaines.

L’évolution sociale modifie les mentalités, l’investissement "pierre" s’accentue et remplace les placements financiers. Les professionnels de la finance parviennent difficilement à convaincre de nouveaux investisseurs.

Bien que les départs en retraite anticipés aient été encouragés pour encourager les "vieux" à dépenser davantage, ils peinent à changer le rythme des achats,
Le constat est évident, les épargnants sont prudents à cause des propositions de placements peu convaincantes et de garanties souvent contradictoires de l’Etat, des Banques et des Assurances.

Les ménages disposent toujours de petits surplus, pour alimenter l’incontournable livret A et faire face aux dépenses imprévues.
Les populations se laissent peu convaincre par les campagnes de presse alléchantes à crédit : Investissements financiers, achats d’équipements ou séjours au bout du monde ! On constate malgré tout quelques dérapages.

Dans les années quatre vingt, une des banques françaises impliquées dans la crise de 2008, avait adopté un slogan dans un programme de communication nationale : " Votre Argent nous intéresse". 
Maintenant faute de convaincre les clients, les banques se regroupent et réussissent à gérer les comptes des clients réticents.

C'est cette pratique que l'on n’appelait pas encore la mondialisation !

Airikal Paris 


mercredi 8 février 2012

FORMATION : ACTIVITE ESSENTIELLE DES PAYS DEVELOPPES !


FORMATION : ACTIVITE ESSENTIELLE DES PAYS DEVELOPPES !

Les crises sont des faits marquants et les suites logiques d’erreurs affectant les milieux financiers, industriels, commerciaux et agricoles, permises à cause d’insuffisance de communications et d’informations actualisées à des moments précis de l’activité d’un continent.

Elles n’ont pas permis aux pays développés de surmonter les effets.
Outre les drames humains quelles engendrent, de grands projets n’ont pas été mis en œuvre.
Les capitaux non affectés auraient permis de développer et multiplier de nouveaux projets.

À cause des délocalisations occidentales et de l’activité soutenue des pays en voie de développement les pays industrialisés ont le souci de  surmonter le problème de l’inactivité des personnels non spécialisés et favoriser les activités des futures entreprises.

Les productions des unités délocalisées sont sans doute celles qui après négociations, favorisent largement les compensations commerciales bilatérales à fortes valeurs ajoutées.
Les multiplications et extensions de délocalisations pas totalement inutiles ni ignorées permettent évidemment aux pays occidentaux d’exporter machines, installations, aéronefs et autres produits ...
Ce cycle d’échanges immuable entraine évidemment la fermeture de nombreuses unités locales et la suppression de milliers d’emplois non spécialisés.
Personnels à reconvertir et à former dés que possible pour satisfaire les demandes de nouvelles unités de productions et limiter autant que possible le nombre d’autorisations d’entrées de techniciens étrangers.

La création constante de produits nouveaux favorise la demande et contraint les industriels à financer plus de projets inédits dans des domaines tels que Nucléaire, Energie, Isolation, Stockage d’énergie, nouveaux matériaux, défense, transports, transmissions, communication, secteurs d’activités pas encore au programme des pays sous industrialisés.

Dans ce contexte et environnement commercial hostile les pays les plus favorisés sont ceux dont le taux de personnels scientifiques et techniques et le volume de créations de produits par million d’habitants sera le plus élevé.
On peut citer entre autres que des pays comme USA, France, Israël, Japon, Inde, Corée, Chine auront une tache immense à remplir dans leurs zones d’influences.

La recherche et la formation seront inévitablement les premières activités des pays qui ont le souci de se développer et préserver les emplois des entreprises.

Airikal -- Roger Isaac Kalifa Paris 

samedi 28 janvier 2012

LES TECHNIQUES NOUVELLES POUR ALIMENTER LES PAYS SANS RESSOURCE, DANS COMBIEN DE TEMPS ?


LES TECHNIQUES NOUVELLES POUR ALIMENTER LES PAYS SANS RESSOURCE, DANS COMBIEN DE TEMPS ?

Les envahisseurs des temps modernes qui colportent les techniques et les idées nouvelles perturbent à des rythmes trop rapides les populations des pays fraichement sorties du sous développement. Ils sont avides de bénéficier sans attendre des richesses du monde. Pourtant….

Pas une seule sommité scientifique, pas un seul organisme national ou international, pas un seul dirigeant de pays moderne, pas un seul syndicat, n’a imaginer la création d’équipes de recherches au seing d’une organisation nationale ou mondiale, ou d’un Ministère,  chargées de modéliser analyser et créer des produits de consommations courantes du futur, dans les pays sous developpés,  avec uniquement de la main d’œuvre, des ressources et des matières premières locales. (Roger I. Kalifa ©),

Le fameux pétrole, ressource fabuleuse fossile qui est à la source et la cause de tout les remous de l’humanité est la source d’énergie qui aveugle les dirigeants des pays producteurs. Elle ne sert que ceux qui se sont engagés sans se démener, et acceptés la participation active et financière d’entreprises et de pays consommateurs sans réelle contrepartie.

Cette énergie est la base des conflits qui ont déstabilisés le 20eme siècle.
Cette source d’énergie à permis d’entrevoir le danger que représente la cohabitation de cultures opposées disposant chacune d’autant de capitaux, utilisables de manières différentes.
Cette source d’énergie qui perdra sans doute de nombreux pays à cause de leur manque de réalisme.
Cette source d’énergie qui était justement au programme non évoqué des grands stratèges occidentaux, qu'ils envisageaient sérieusement de remplacer progressivement dans les années deux mille quinze à deux mille vingt. 

Depuis plus d’un quart de siècle les multiples conflits régionaux ont certainement contrariés les programmes à longs termes qui consistaient à remplacer facilement le pétrole et d’envisager de s’affronter à la première occasion sur d’autres terrains plus lucratifs, notamment le Solaire et l’Espace.

L’après pétrole ce sera sans doute dans quelques décades. Dans ce cas la crise de 2008 aura été certainement absorbée par le regain d’activités industrielles des blocs occidentaux et asiatiques. 
Le partage des espaces d’influences normalisées entre industriels des principaux pays exportateurs sera une banale directive mondiale courante et commune.

Faute d’initier les pays sous développés  et de leur permettre de créer localement avec leurs outils de production, leurs ressources et leurs matières premières locales,  les dirigeants des pays riches de technologies et de capitaux seront contraints de s’organiser sans tarder pour aménager des espaces d’activités pour stabiliser, occuper et  alimenter sans contrepartie les populations de pays à la traine et tous les pays qui vivaient auparavant du produit des ressources pétrolières et bananières

AIRIKAL Roger Isaac Kalifa Paris



vendredi 27 janvier 2012

La France espère t-elle aller seule au "charbon" pour relancer l’emploi ? Simple utopie, défi ou chimère ?r


La France espère t-elle aller seule au "charbon" pour relancer l’emploi ? Simple utopie, défi ou chimère ?

Pour relancer l’économie nationale, peut-on créer des emplois avec de vieux produits, des structures industrielles obsolètes, des semaines de quatre jours, des personnels mal motivés et peu formés, des salaires insignifiants, une fiscalité débordante, des entreprises exsangues  et des concurrents déterminés à ne pas perdre leurs marchés aux quatre coins du monde ?

Pour réagir efficacement les industriels internationaux seront forcés de moderniser leurs installations, renouveler les gammes, changer les collections et produits existants. Ils seront certainement plus agressifs sur le terrain.
En Europe il n’est pas trop tard pour corriger l’orientation industrielle, réactiver ou renouveller les réseaux de ventes endormis.

Il est très possible d’adopter de nouvelles solutions économiques et financières pour obtenir de bons résultats et réanimer les structures d’emploi, mais il est surtout recommandé de ne pas omettre d’associer aux programmes les partenaires industriels et les consommateurs d’Afrique et des pays sous industrialisés qui attendent l’invitation.

Des solutions économiques sans prévoir la survie des pays consommateurs voisins exsangues en rupture de payements seraient évidemment une erreur boomerang.

Les scandales financiers que le monde moderne a découvert, démontrent que les capitaux nécessaires à la survie et la modernisation des industries exportatrices ne manqueront à aucun pays entreprenants.
Désormais seuls les hommes de qualité, intrépides et intègres, auront la charge de relever les défis et d’assurer la continuité.

Il est urgent et indispensable d’élaborer une multitude de nouveaux produits d’usages courants selon de nouveaux concepts, de redéfinir les nouvelles formes d’utilisation et consommations courantes y compris dans le domaine agricole pour regagner toutes les parts de marché envolées avec cinq millions d’emplois

Pour sauver l’industrie du bloc occidental il est recommandé d’offrir aux consommateurs de la planète des produits avec de nouvelles normes. Chacun attend impatiemment pour s’offrir ceux fabriqués hors des frontières. Produits de qualité supérieure, avec de nouveaux matériaux, un autre design, de nouvelles garanties de control de qualité.

Les industriels d’Europe ne sont pas à court d’idées, ils sont assez habiles pour se recentrer et regagner leurs places de leaders. Avec le concours des pays du Sud le challenge sera saisissant et sans précédent.

Le résultat dépend de la volonté industrielle de la nouvelle génération de cadres et dirigeants et des décisions sans compromis des autorités qui dirigent l’Europe y compris ceux de France.

Airikal—Roger Isaac Kalifa Paris



jeudi 26 janvier 2012

Maintien des Forces internationales en Afghanistan et dégâts collatéraux.


Maintien des Forces internationales en Afghanistan et dégâts collatéraux. 
Les engagements et les drames vécus sur place sont très certainement au nombre des prévisions partielles prévisibles des accords circonstanciels entre puissances multinationales présentes sur le terrain. Les responsables des forces engages ne font qu’exécuter de multiples directives, et déplorer le nombre de victimes.

Les incidents constatés ne seraient ils pas suffisants pour renégocier les engagements pris par nécessités politiques, financières ou pour cause de stratégies multinationales à long terme inconnues du grand public. Besoins et craintes qui se négocient et se modifient généralement au gré de mouvements diplomatiques soutenus.

Les résultats partiels sur le terrain, jalonnés d’actes négatifs parfois douloureux, survenant depuis un demi siècle dans ces parties du monde, Vietnam Pakistan Afghanistan Iran Irak ….. n’ont pas eu l’impact international suffisant pour que les autorités des partenaires en place puissent se permettre de redéfinir, réaménager ou remettre en cause les programmes initiés par les administrations internationales respectives.. … 
Airikal



dimanche 15 janvier 2012

Surdoués dans la tourmente ! Analyses et suggestions.

Alors que d’innombrables sujets non testés à travers le monde, sont reconnus ou récompensés à cause de leurs compétences à mieux faire plus vite que les autres Il faut admettre que les règles en place tentent de démontrer que seuls sont reconnus surdoués, ceux qui acceptent les exigences d’une évaluation, et d’un classement

M. François Gagné de l’Université du Québec affirmait que " les dons des enfants se manifestent naturellement et généralement que dans un seul domaine d’aptitude… l’habilité d’un sujet est innée " La plupart d’entre eux se retrouvent sur le marché de l’emploi sans être dépisté.
Les parents s’obstinent généralement à faire reconnaître cette différence en sollicitant un classement sur une échelle de QI, espérant que les concours que la société s’efforce d’apporter aux surdoués, valent le temps et les moyens qu’on y consacre ?

Médicaliser un enfant pour cause d’activités bruyantes ou débordantes est une des pires décisions. Un sujet qui se manifeste bruyamment et en fait qu’à sa tête ne relève pas d’un mauvais esprit d’indépendance, ou de mauvaise volonté, mais généralement de la détermination de tester et d’appliquer à tout âge ses propres méthodes et raisonnements,  et ignorer le risque d’être pénaliser et marginaliser davantage.
Les sujets qui s’ennuient sur les bancs des universités confirment que les enseignants ne s’intéressent pas suffisamment à ceux qui comprennent et décryptent plus vite de manières différentes.
  
Quel avantage tire un sujet dépisté d’un don ou d’un Q.I. élevé dans la société moderne ? 

A quoi bon être surdoués et avoir une carrière surprenante si en fin de carrière des avantages ne sont pas à la mesure moyens et services . Le bilan s’évalue  alors trop tard pour que des correctifs puissent être apportés ?
En fin de carrière on retrouve souvent les sots mêlés aux grosses têtes, avec les mêmes prérogatives et avantages.  
Les préoccupations des familles d’enfants doués sont effectives et constantes.
 Pour permettre d’atténuer l’importance du programme,
l’analyse rationnelle, la modification et la normalisation des étapes successives de prise en charge des enfants ne seraient pas superflues,

Affectivités et syndrome d'abandon des enfants.
Dépistage et classification des surdoués.
Dépistage et suivi des attardés.
Identification et sauvetage des surdoués en fin de formation.
Intégration et regroupement de surdoués illettrés sans diplôme.
Niveaux d'instruction et compétences des enseignants.
Partenaires des enfants, adolescents et adultes surdoués.
Programmes d'enseignement en milieux spécialisés.
Qualité de l’enseignement collectif et particulier.
Qualités des équipements des centres de dépistage.
Qualité formation et recrutement des enseignants.
Relations surdoués et éducateurs.
Relations experts et enseignants.
Suivi des enfants présumés surdoués en cours de scolarité.
Tests et dépistages collectifs. 
Tests et empreintes génétiques des élèves.
Tests et Q.I. des enseignants.

Vastes programmes en perspective ….

Airikal -- Roger I. Kalifa Paris 

vendredi 13 janvier 2012

VALEURS ET CAPACITÉS DES PERSONNES DOUÉES ET SURDOUÉES


 La société moderne n'a pas de temps à sacrifier pour s'occuper d’individus considérés à tort ou à raison comme supérieurs aux autres.
Il est courant de dire et d’entendre qu’ils peuvent bien se débrouiller seuls ! 

En général ces adultes et adolescents ne sont pas totalement satisfaits de leurs performances, et jugent insuffisante l’aide qu'apportent les parents, les éducateurs et les partenaires.
Ils prétendent communément que leurs capacités permettent de mieux finaliser les projets, sans assistance excessive, et surtout grâce à leurs options personnelles qui étonnent et dérangent.
Procédés et méthodes peu ordinaires que le monde extérieur admet sans conviction. !

Les sujets concernés remarquent que les parents et les éducateurs sont déstabilisés et désarmés face à d’évidentes situations désagréables qu'ils créent et assument généralement en silence.
En cas de rejets ou de réticences ils se résignent à attendre sans se presser pour s’affirmer ou se manifester de manières différentes.
Pour conforter leurs positions ils ont besoin de calme pour protéger inlassablement leurs projets et actions.

Face aux détracteurs et supérieurs, le monde des surdoués se doit de consacrer plus de temps pour faire admettre ses performances et créer un climat de reconnaissance.
  
En s'imposant des règles et des obligations, ils proposent des solutions sans expliquer ni justifier les méthodes et formules. Les interlocuteurs doivent se résoudre et redoubler d'efforts et de patience pour admettre l’évidence.

Pour minimiser plus aisément l’handicap qui les rends différents et performants, les surdoués seraient bien inspirés de faire l’effort d’inclure à leurs programmes une grande part de tolérance  d’habilité et patience  

AIRIKAL --Roger Isaac Kalifa Paris

Les surdoués ne sont pas qu’intellectuels, mathématiciens, scientifiques, ou musiciens …
Dans chaque pays des personnes douées, parfois simples ouvriers et artisans dotés 
de dons et d’aptitudes exceptionnelles effectuent de multiples taches étonnantes.
.   AIRIKAL (prochains textes : analyses et suggestions)





lundi 9 janvier 2012

LES HOMMES ET LES FEMMES NON TOLERES PAR LA SOCIÉTÉ.


Il existe des individus à l'exemple des aigles, que l'on ne peut approcher, qui ne se laissent ni apprivoiser ni convaincre par les groupes ou organisations établies qui craignent de perdre leur identité, leur liberté et leurs idées !
Il s’agit d’hommes et de femmes qui ont un Q.I., bien au dessus de la moyenne, qui vivent et pensent seuls sans assistance, sans repaire, sans autre référence que leurs motivations et certitudes acquises, ancrées à force de recoupements et d'analyses jamais remises en cause par la société moderne.
Des sujets qui ne craignent pas la compétition, qui se plaisent à vivre à l'écart, même en difficultés matérielles ou en position de survie.
Il n'y a rien de plus absurde et de pire que de ne pas échanger et entendre leurs messages souvent décalés si différents des réalités coutumières.
Ces individus sont ces briques, grâce et avec et le concours desquelles, sont bâties les villes et réalisées de nombreux projets.
Etre trop grand ou trop clairvoyant dans son époque, nécessite beaucoup d’énergies et de volonté pour s'écarter, souvent maladroitement de projets qui ne correspondent pas aux références fixées.
Quel crédit accorde t-on à une société qui redoute les programmes et les idées trop en avance de cette catégorie d'élites.
Est-ce une tare que d'être trop grand ou avoir des idées à contre courant dans son époque ? La société nouvelle n'est pas prête à céder un seul pouce de ses prérogatives, elle n'a pas préparé ses exécutants à prendre des initiatives innovantes, et admettre l'utilité d’être trop inventif ou trop rapide.
La cohabitation de deux types de populations est hasardeuse, elle met en évidence la sensation d'intouchabilité du pouvoir en place et la puissance des prérogatives acquises face à un noyau de personnes trop en avance sur leur temps.
Les places sont chaudes et lucratives, la société moderne n'est pas prête à les céder à ces incompris. Seul le temps permettra de leur donner raison et mettra en lumière leurs travaux et leurs idées, souvent bien trop tard.
Souhaitons que le temps ne s’écoule pas trop vite et que ces populations trop Douées, ne luttent ni ne s’égosillent pour se faire entendre !

ROGER ISAAC KALIFA- ©